À propos de votre consultante éditoriale
Et si on apprenait à se connaître ?
Si vous êtes sur ma page “À propos”, c’est que vous trépignez d’impatience à l’idée d’en apprendre plus sur votre consultante éditoriale freelance (j’exagère à peine).
Pour tout vous avouer, je suis de nature discrète.
Je n’aime pas parler de moi.
Lorsque j’étais petite et qu’il fallait se présenter, je devenais rouge comme une tomate et mon cœur battait la chamade.
À l’époque, qui aurait cru que la petite fille qui avait envie de se fondre dans le décor saurait si bien manier les mots ?
Pas moi en tout cas !
Je vais être honnête.
Quand je dois prendre la parole, je ne suis toujours pas à l’aise.
Et si c’est pour parler de moi, n’en parlons même pas !
Mais à l’écrit, c’est une autre histoire.
Les mots font partie de ma vie
Dans la cour de récré en maternelle, j’étais cette petite fille timide qui ne jouait pas vraiment avec les autres. Je n’avais pas du tout confiance en moi.
J’imaginais de belles histoires toute la journée.
Les mots étaient dans ma tête. Toujours présents. Là pour me réconforter. Puis, j’ai appris à lire. À 5 ans, je dévorais des livres au lieu d’aller jouer avec les autres.
Et un jour, mon père a ramené un ordinateur à la maison.
Je ne me souviens plus de l’âge que j’avais. Peut-être 10 ans ?
Tout ce que je sais, c’est que mes premiers pas sur le web ont eu l’effet d’une bombe dans mon quotidien.
Je pouvais y passer des heures à chercher des infos sur mes séries favorites (je plaide coupable).
J’étais très loin d’imaginer qu’un beau jour, j’allais réunir mes 2 passions : les mots et Internet.
Et si je travaillais dans le web ?
Après avoir obtenu mon bac L, direction l’université de Lille 3 pour des études en sciences de l’information et de la documentation. Au bout de 2 ans, j’ai compris que même si j’adorais la recherche d’information, je ne me voyais pas travailler en bibliothèque ou en centre de documentation. Alors, j’ai décidé de poursuivre mes études en intégrant un Master spécialisé dans les métiers du web.
En première année de Master, je suis un cours de référencement : la révélation !
Alors je décide de faire mon stage en agence SEO.
Et là, je fais LA découverte qui va tout changer : la rédaction web.
J’enchaîne avec une très mauvaise expérience pendant mon M2. Un an d’alternance en tant que rédactrice web. Sur le papier, ça me faisait rêver. Mais j’ai vite déchanté : bonjour le management toxique !
Ça ne m’a pas empêché d’obtenir mon Master haut la main. Et la bonne nouvelle, c’est que je n’étais même pas dégoutée de la rédaction web. C’était bien ça que je voulais faire, patron toxique en moins…
De rédactrice web en agence…
Après quelques mois chez Loisirs&Création en tant que responsable éditoriale (un titre un peu pompeux quand on sait que j’étais la seule personne en charge du site web), je suis embauchée par une agence spécialisée en SEO et SEA.
J’y suis restée 3 ans.
J’étais la seule rédactrice web de l’agence.
C’était exaltant de définir la stratégie éditoriale des clients et de rédiger leurs textes. Mais c’était aussi éreintant et frustrant.
D’un côté, je gérais beaucoup (trop) de clients. Alors oui, j’avais (parfois) un stagiaire (pas très dégourdi) pour m’aider. Mais ce n’était pas suffisant.
J’aime le travail bien fait.
Et pourtant, encore une fois, je savais que je ne donnais pas le meilleur de moi-même, car la charge de travail était trop intense.
De l’autre, je ne supportais plus les offres vendues par les commerciaux. J’avais beau essayer de faire entendre ma voix, ça ne changeait rien. L’objectif était de vendre à tout prix et tant pis si l’offre ne convient pas au client !
Des problèmes de management pour saupoudrer tout ça et vous obtenez une belle remise en question : et si je partais ?
Trouver un poste dans une autre agence ? Non, ça n’aurait fait que déplacer le problème.
Devenir freelance ? J’hésite un peu, mais… c’est un grand oui !
J’ai peur, mais j’y vais !
M’épanouir tout en proposant à mes clients les contenus qualitatifs qu’ils méritent, c’est ça que je veux faire !
04
… À consultante éditoriale freelance
Janvier 2016, c’est l’inconnu.
Est-ce que je vais trouver des clients ?
Ce qui est bien quand on devient freelance après quelques années de salariat, c’est le réseau. Mes anciens collègues savent que je suis compétente et me recommandent autour d’eux.
Je trouve rapidement mes premières missions.
De la rédaction, mais aussi de la stratégie et de la gestion de projet.
Depuis 2016, je suis chanceuse.
J’accompagne mes clients dans la réussite de leurs projets éditoriaux.
05
2023 : et si je me formais au copywriting ?
En 2022, j’ai senti que j’avais besoin de me réinventer.
J’ai essayé de créer de nouvelles offres.
Mais ce n’était pas ça.
J’ai mis quelques mois à mettre le doigt sur le problème.
Ce dont j’avais besoin, c’était d’un vrai changement !
Celui qui bouleverse le quotidien, qui est inconfortable au début et qui finit par donner des ailes !
Après plusieurs mois de réflexion, j’ai donc décidé de me former au copywriting.
Une compétence que je ne maîtrisais pas, mais qui m’intriguait beaucoup.
Et qui est si complémentaire à la rédaction web !
Ce qui m’anime aujourd’hui, c’est d’accompagner les entrepreneurs à maximiser leur impact sur Internet grâce au pouvoir des mots.